Mécaniciens, ingénieurs, motoristes, tout le staff Citröen est aux petits soins pour la Xsara de son pilote Sébastien Loeb.
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Mécaniciens, ingénieurs, motoristes, tout le staff Citröen est aux petits soins pour la Xsara de son pilote Sébastien Loeb.
Légendaire épreuve de rallye sur routes ouvertes, la Targa Florio attirait des plateaux de voitures de sport réunissant les pilotes Ferrari, Porsche, Mercedes, Lancia, Alfa Romeo sur un parcours de plus de 1.000 kms à travers l'Italie et la Sicile.
Souvenir de la Ferrari Dino 246 SP en 1962 avec P. Rodriguez, W. Mairesse et O. Gendebien.
Hormis les grands constructeurs automobiles US, le prestige des 24h du Mans a attiré des magnats américains de l'industrie, de la presse ou de l'immobilier venus rivaliser avec les équipes d'usine. Tel est le cas, entre autres, de Don PANOZ avec ses impressionnants roadsters et GT.
Audi avait suscité l'admiration lors de l'édition de l'an 2000 sur le circuit de la Sarthe en réalisant un triplé victorieux devant toute la concurrence. Je vous propose un petit tour dans les stands de l'armada AUDI.
Changement de pilote, plein en carburant et pneus neufs après un relais.
La presse et les chaines TV sont bien là...
Les mécaniciens et ingénieurs sont bien rôdés à leurs taches.
Et dans les "box", la maintenance des pièces est assurée pour garantir le succès final aux équipages...
Le Tour de Corse, rallye inscrit au championnat du monde, est devenu au fil des éditions une véritable légende réunissant les pilotes internationaux de 1er plan et de nombreux amateurs éclairés non dénués de talent.
En action une Renault Clio 16S véloce et très agile sur des spéciales de montagne corse tortueuses à souhait.
Matra aura marqué le sport auto en France et l'histoire des 24 H du Mans avec 3 victoires successives de 1972 à 1974, ici en 1972 avec G.Hill & H.Pescarolo.
Les souvenirs de la berlinette Alpine A110 ne manquent avec de nombreux pilotes qui se sont illustrés à son volant... De Jean-Claude Andruet à Jean Ragnotti sans oublier Jean-Pierre Nicolas et bien d'autres amateurs éclairés.
Comment passer le temps confiné chez soi, alors que la nature nous tend les bras, si ce n'est en se consacrant à quelques loisirs et occuper ses doigts alors que la tête est ailleurs....
Quelques moments d'émotion avaient marqué cette édition 1995 avec pluie et brouillard au programme. Avec une visibilité pour le moins aléatoire, il fallait aux concurrents un gros cœur pour affronter les pentes de col de la Croix Saint-Robert. Les prototypes et monoplaces y effectuaient des passages spectaculaires sous une pluie battante et à peine 50 mètres de visibilité..!
Pour cette édition des 6/7 novembre 1976, la Lancia Stratos HF était l’arme redoutée des autres concurrents engagés (92) et la présence à son volant de S.Munari et B.Darniche (vainqueur 1975) en faisait des vainqueurs potentiels. Dans ce groupe 4 figuraient, en challengers à l’affût, les Alpine A310 de J.C.Andruet, J.Ragnotti, J.P.Manzagol et F.Vincent ainsi que les Opel Kadett G/TE de W.Rörhl, J.P.Nicolas. Dans les différents groupes se mêlaient Simca R2, Alpine A110, Peugeot 104, etc…
L’itinéraire, cumulant 630 km, alternait spéciales courtes (variant de 16 à 27 km) et gros morceaux (de 76 à 166 km) avec leurs légendaires 10.000 virages.
Hormis la 1ère spéciale remportée par B.Darniche, S.Munari s’emparait de la tête du rallye dès l’ES2, laissant son adversaire direct remporter les spéciales 4, 7 et 8.
Le podium d’arrivée (11 concurrents classés) confirmait la victoire de S.Munari devançant B.Darniche (qui avait écopé de 1mn de pénalité) de 17 sec. Brillant 3ème, J.P.Manzagol (à 25 mn) entraînait dans son sillage l’autre Alpine A310 de J.Ragnotti. Le groupe 3 revenait à J.Alméras (Porsche 911) tandis que les groupes 1 et 2 échouaient finalement à H.Greder et J.C.Sévelinge, tous deux sur Opel Kadett.
Parmi les abandons, au nombre impressionnant de 80, les plus notoires étaient ceux de F.Serpaggi, J.C.Andruet, W.Rörhl, J.P.Nicolas, G.Fréquelin (Opel), J.F.Mas (Porsche), J.L.Clarr, M.Mouton, etc…
Souvenez-vous, c'était en janvier 1985, TF1 avait décidé de retransmettre pendant 1h30 le prologue du rallye sur le tracé de la course de côte de Dunières. 10.000 spectateurs avaient assisté à l'évènement en direct et apprécié les démonstrations des Audi Quattro et Peugeot 205 Turbo... Ari Vatanen avait remporté ce prologue et conclu en beauté avec la victoire à Monaco.
https://www.youtube.com/watch?v=OHvPGGsdixI
Le Mans Classic, 8ème épisode, se tiendra les 8, 9 et 10 juillet 2016. Avec 500 voitures de course en piste, ce sera l’un des rendez-vous incontournables du calendrier automobile 2016 sur le grand circuit des 24 Heures du Mans .
Créé en 2002 par Peter Auto, en association avec l’Automobile Club de l’Ouest, Le Mans Classic offre une formidable rétrospective des mythiques 24 Heures du Mans. Plébiscité dès sa première édition, l’évènement n’a cessé d’asseoir sa notoriété au fil des éditions pour s’établir comme un must attendu tous les deux ans par le public et les participants.
En juillet 2014, plus de 110 000 spectateurs avaient fait le déplacement dans la Sarthe pour admirer près de 500 voitures de course en piste et 8 000 voitures de collection dans l’enceinte générale spécialement aménagée pour accueillir 180 clubs représentant 80 marques !
Au centre de cette grande fête de l’automobile, un village d’animations et d’expositions plongera à nouveau les visiteurs dans la magie de l’histoire.
Action et animations, jour et nuit !
• 6 plateaux : des essais de jour et de nuit dès le vendredi, 18 courses samedi et dimanche
Un avant-goût en video:
On doit ce record à Roger Dorchy et le team WM Peugeor lors des 24H du Mans 1988. A découvrir l'article complet sur: http://www.endurance-info.com/fr/roger-dorchy-405-kmh-un-record-pour-leternite/
Il y a quelques 45 années, on parlait de la « temporada » auvergnate comme d’un événement majeur du sport automobile. On recensait durant la période estivale pas moins de 4 courses : Dunières, le Haut-Cantal, le Mont-Dore et Châtelguyon qui attiraient le gratin de la spécialité pour leur prestige et leur décor naturel incomparable.
Parmi elles, au fil d’un demi-siècle, la course de côte internationale du Mont-Dore a atteint une notoriété enviable et jalousée par bien des organisateurs. Inscrite en championnat d’Europe, sa renommée a largement dépassée notre région Auvergne et nos frontières. Elle a également auréolé de légende tous les pilotes qui ont su s’imposer grâce à leur talent et leur volonté à surpasser le risque. Jusqu’à 300 concurrents dans les plus belles années, elle peut s’enorgueillir d’un succès largement mérité, même si de nos jours ce succès a tendance à fléchir pour des raisons économiques ou administratives auxquelles se mêlent quelques querelles internes. Le succès a toujours suscité des appétits quelque fois peu glorieux. Son inscription en épreuve européenne n'est plus d'actualité.
Toujours est-il que les médias et les V.I.P’s ne se sont pas trompés et sur l’initiative des organisateurs, un public friand a pu y découvrir des vedettes du sport auto, du show’bizz, du cinéma ou de la politique ainsi que des voitures de légende comme la Rondeau M482, la WM Peugeot, la Chevrolet Corvette du Greder Racing, les Peugeot 505 Production, etc… Des animations ou démonstrations en moto, kart 250, camions, etc… attiraient judicieusement un public familial pas toujours féru de compétition. On pouvait dénombrer jusqu’à 10.000 spectateurs sur les abords du parcours et les passionnés n’hésitaient pas à braver les tornades orageuses qui s’y sont produites à plusieurs reprises accompagnées de brouillard au sommet et de chutes brutales du thermomètre de 15 à 20°. Tous ces facteurs ont créé la légende du Mont-Dore.
La renommée de l’épreuve a attiré de nombreux concurrents européens. Allemands, espagnols, italiens, tchèques, etc…ont tous rêvé d’inscrire leur nom sur les tablettes du Mont-Dore.
A ses débuts, D.Rouveyran et P.Maublanc ont imposé leur audace et leur talent. Avec une F1 March de 450 CV, le premier y perdra, hélas, la vie. C’était en 1973. J.P.Beltoise, dans les années 60, remporta 4 victoires. La décennie suivante vit le quasi règne de R.Mieusset, dit « Jimmy », qui s’imposa avec une conception et des moyens plus professionnels, concurrencé malgré tout par des pilotes comme G.Fréquelin ou M.Pignard.
Un nouveau venu, dans les années 80, devint le « roi Marcel ». M.Tarrès, excellent pilote, metteur au point et manager ne tarda pas éclipser tous ses adversaires qui avaient pour noms M.Sourd, C.Debias, M.Pignard, G.Xiberras, etc…Le record de 2’21’’75 établi en 1982 tiendra 12 ans. Le Team Tarrès/Primagaz, aux moyens conséquents, avait fière allure dans le parc concurrents.
Les champions étant toujours remis en cause, on vit alors de nouveaux talents apparaître. Ce fût le cas, dans les années 90, de D.Boccard qui, avec une pugnacité incomparable, finit par faire chuter le roi. Ces années là ont vu l’apparition des premières F3000 avec M.Régal puis B.Chamberod et L.Regal. Les performances, la technique et la mise au point de ces monoplaces ont carrément bouleversé les possibilités de victoire pour les F2. B.Chamberod en fit la démonstration éclatante, suivi de nos jours par le dernier champion de France en titre depuis 7 ans Lionel Regal qui a établi un nouveau record en 2008 en 2’15’’720 soit 132,626 km/h de moyenne !
Après sa disparition aussi brutale qu'inattendue, une autre graine de champion en la personne de Nicolas Schatz prenait le relais...
Les records de victoires :
Marcel Tarrès : 10 (1982 à 1986-1988 à 1992)
Nicolas Schatz : 6 (2010 à 2015)
Daniel Boccard : 6 (1987-1993-1996 à 1999)
Lionel Régal : 5 (2005 à 2009)
Bernard Chamberod : 5 (2000 à 2004)
Jimmy Mieusset : 5 (1971 à 1975)
Jean-Pierre Beltoise : 4 (1967 à 1970)
Christian Debias: 3 (1977-1994 à 1995)
Max Mamers : 2 (1978/79)
Certains noms sont montés une fois sur la plus haute marche du podium, c’est le cas de G.Fréquelin (1972), Hervé Bayard (1974), Y.Courage (1980) et Marc Sourd (1981).
Bernard Degout en action sur les pentes de la course de côte du Mont-Dore avec sa De Tomaso Pantera en groupe 3 (GT de série).