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Rallyes

  • Les rallyes-raids ont aussi marqué le sport automobile (1).

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    Que ce soit le célèbre Paris-Dakar ou d'autres rallyes africains comme celui de Côte d'Ivoire ou le Safari Rallye, de nombreux constructeurs ont tenté de valoriser leur marque sur des itinéraires aux difficultés multiples. Affronter le sable, la boue ou la rocaille des pistes de Centre-Afrique n'était pas de tout repos pour les mécaniques et les pilotes....

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    A suivre...

     

  • Ambiances de rallye avec Citröen...

    Mécaniciens, ingénieurs, motoristes, tout le staff Citröen est aux petits soins pour la Xsara de son pilote Sébastien Loeb.

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  • Le monde du rallye au 1/43ème

    Les souvenirs de la berlinette Alpine A110 ne manquent avec de nombreux pilotes qui se sont illustrés à son volant... De Jean-Claude Andruet à Jean Ragnotti sans oublier Jean-Pierre Nicolas et bien d'autres amateurs éclairés.

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  • Tour de Corse 1976

    Pour cette édition des 6/7 novembre 1976, la Lancia Stratos HF était l’arme redoutée des autres concurrents engagés (92) et la présence à son volant de S.Munari et B.Darniche (vainqueur 1975) en faisait des vainqueurs potentiels. Dans ce groupe 4 figuraient, en challengers à l’affût, les Alpine A310 de J.C.Andruet, J.Ragnotti, J.P.Manzagol et F.Vincent ainsi que les Opel Kadett G/TE de W.Rörhl, J.P.Nicolas. Dans les différents groupes se mêlaient Simca R2, Alpine A110, Peugeot 104, etc…

    L’itinéraire, cumulant 630 km, alternait spéciales courtes (variant de 16 à 27 km) et gros morceaux (de 76 à 166 km) avec leurs légendaires 10.000 virages.

    Hormis la 1ère spéciale remportée par B.Darniche, S.Munari s’emparait de la tête du rallye dès l’ES2, laissant son adversaire direct remporter les spéciales 4, 7 et 8.

    Le podium d’arrivée (11 concurrents classés) confirmait la victoire de S.Munari devançant B.Darniche (qui avait écopé de 1mn de pénalité) de 17 sec. Brillant 3ème, J.P.Manzagol (à 25 mn) entraînait dans son sillage l’autre Alpine A310 de J.Ragnotti. Le groupe 3 revenait à J.Alméras (Porsche 911) tandis que les groupes 1 et 2 échouaient finalement à H.Greder et J.C.Sévelinge, tous deux sur Opel Kadett.

    Parmi les abandons, au nombre impressionnant de 80, les plus notoires étaient ceux de F.Serpaggi, J.C.Andruet, W.Rörhl, J.P.Nicolas, G.Fréquelin (Opel), J.F.Mas (Porsche), J.L.Clarr, M.Mouton, etc…

     

  • Une video du prologue télévisé du Monte-Carlo 1985.

    Souvenez-vous, c'était en janvier 1985, TF1 avait décidé de retransmettre pendant 1h30 le prologue du rallye sur le tracé de la course de côte de Dunières. 10.000 spectateurs avaient assisté à l'évènement en direct et apprécié les démonstrations des Audi Quattro et Peugeot 205 Turbo... Ari Vatanen avait remporté ce prologue et conclu en beauté avec la victoire à Monaco.

     

    https://www.youtube.com/watch?v=OHvPGGsdixI

  • Rallye de Monte-Carlo 1979.

    Cette 47ème édition se déroulait du 20 au 27 janvier 1979 avec 9 itinéraires de concentration dont Copenhague, Francfort, Lausanne, Londres, Rome, Varsovie et Monte-Carlo.

    Avec 233 concurrents au départ du parcours de classement, le tracé comportait ensuite un parcours commun de 1303 km en 15 spéciales et un parcours final de 650 km (en 10 spéciales) auquel participaient seulement 81 équipages les mieux classés après le commun.

    Parmi les forces en présence, les groupes 4 Ford et Fiat représentaient le plus gros potentiel de victoire mais Lancia-Chardonnet avec B.Darniche ne comptait pas faire de la figuration. Dans le groupe 2, les R5 Alpine (Ragnotti, Fréquelin et Saby), les Kadett GT/E (Kullang) étaient les favorites. A.Vatanen pilotait pour l’occasion une Fiesta 1600 gr.2. De nombreux amateurs avaient tenté leur chance de bien figurer et c’est ce qui faisait le charme de ce rallye.

    Le parcours commun, hivernal à souhait, voyait la domination de B.Waldegaard (Ford) devant les Fiat 131 de M.Alen, W.Rohrl et J.C.Andruet, Darniche étant relégué à la 6ème place avec 6’27 de retard sur la Ford Escort.

    Alors que l’on attendait une victoire prévisible de Waldegaard, le parcours final, avec un redoux exceptionnel pour le dernier jour, changea complètement la donne avec un B.Darniche survolté qui, au fil des spéciales, réduisait son retard en prenant tous les risques sur des plaques de verglas disséminées. Le vainqueur potentiel, jouant de malchance, rencontrait sur sa trajectoire des rochers insidieusement déposés par des spectateurs, « ouvrait » son train avant et perdait la tête du rallye pour 6 secondes en faveur de la Stratos.

    Parmi les abandons notoires figuraient B.Saby (moteur), A.Kullang (crevaisons), Rohrl (moteur), A.Bettega (surchauffe)…G.Fréquelin, 8éme, remportait le groupe 2 et J.L.Clarr, 12ème, s’imposait dans le gr.1 tout comme G.Swaton (Porsche Carrera 2.7) en gr.3.

    J.L.Thérier, engagé sur une Golf GTI dans le groupe 2 qu’il dominait, avait dû abandonner sur ennui de câble d’accélérateur alors que la voiture était soigneusement préparée par Cresson.

    154 concurrents seront finalement classés (y compris ceux du parcours commun) sur le port de Monaco.

  • Le Tour Auto 1980.

    Alors que va se dérouler en avril le Tour Auto Historique, voici un bref retour de l'édition 1980...

    La Lancia Stratos « Le Point » de Bernard Darniche, déjà vainqueur à 3 reprises (1975/77/79) était la favorite de cette édition 1980 malgré la présence en groupe 4 des Fiat 131 Abarth de J.C.Andruet (2ème en 1979) et M.Mouton ainsi que des Porsche de B.Béguin, J.Alméras ou du prometteur Philippe Touren. J.Ragnotti était aussi présent sur une R5 Turbo et le champion espagnol A.Zanini était l’invité d’honneur sur une Porsche Alméras. Joël Mouetron avait engagé une inhabituelle Triumph TR7. En parallèle du rallye officiel dont le départ était donné à Villeurbanne, quelques concurrents de Porsche 356 étaient engagés en V.E.C.

    Dans chacun des groupes et classes, les prétendants aux podiums ne manquaient pas. Au terme d’un parcours que les concurrents ne cessent d’affectionner, la victoire revenait donc à un B.Darniche dominateur devant B.Béguin qui n’avait rien lâché malgré une tenue de route fantaisiste de sa Porsche. M.Mouton, 3ème, sauvait l’honneur des Fiat 131 après l’abandon d’Andruet et précédait de peu A.Zanini suivi comme son ombre par J.Alméras. En groupe 3, C.Gardavot (vainqueur en 1978) devait s’incliner face à J.P.Ballet. Dans le groupe 2, après de nombreux abandons, la victoire échappait de peu à la Peugeot 104 ZS de D.Carret (18ème scratch) au profit de l’Alfasud Ti de J.P.Leude. J.J.Enjalbert (Opel Ascona) remportait le groupe 1 avec une belle 10ème place au général face à M.Bonnamour et J.C.Gouleret sur le même modèle.

    Parmi les malchanceux qui n’ont pas rejoint les 55 équipages classés, notons J.Ragnotti, victime de problèmes d’allumage, Ph.Touren, F.Bondil (Porsche) ou J.L.Clarr (Opel Ascona 400).

  • La Ronde du Quercy 1979.

    4ème édition de cette épreuve qui se déroulait au printemps. Comptant pour le championnat « Région Sud-Ouest », l’ASA Quercy proposait une boucle de 43 km à effectuer 6 fois sur un parcours particulièrement humide. Plusieurs concurrents Porsche, logiques favoris, avaient fait le déplacement, (M.Teilhol, D.Moureu, J.Beidel) mais devaient se méfier, en raison de la météo, des Opel Kadett G/TE de Vivier, Labrot ou Bressou très efficaces. J.Turnel, au volant d’une Rallye 2 gr.2 très bien préparée, espérait bien figurer dans le top 10 ainsi que J.Dubert sur une R5 Alpine qui connaissait parfaitement le parcours.

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    Après le 1er tour d’essai, J.Dubert abandonnait sur bris de suspension, imité au 2ème tour par D.Moureu qui cassait le moteur de sa 911 préparée par R.Touroul. M.Teilhol, effectuant une course régulière et sage, se dirigeait, avec 3mn d’avance, vers le podium suivi par Vivier (vainqueur du gr.2) et Labrot (victoire en gr.1) respectivement 2ème et 3ème. Les Opel Kadett avaient su profiter des conditions d’une pluie incessante. Bressou ratait de peu le podium pour 43’’ et J.Turnel terminait à une flatteuse 6ème place au scratch. 

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  • La Chrysler Sunbeam Lotus...1979

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    Présentée au salon de Genève 1979 puis baptisée par la suite Talbot, la Sunbeam Lotus affichait des prétentions de modèle sportif alléchant capable de dépasser 200 km/h. Ses performances, elle les devait à un poids contenu de 960 kg et un moteur 2.2 L 16 soupapes des Lotus Elite et Esprit délivrant 150 cv. Alimenté par 2 Dell’orto DC de 45, ce moteur à 2 AC en tête était accouplé à une BV ZF à 5 rapports.

    Homologuée en groupe 1, elle évolua rapidement en groupe 2 avec les succès qu’on lui connaît en championnat du monde des rallyes et en Grande-Bretagne (Guy Fréquelin avait d’ailleurs été vice-champion du monde à son volant). Sa petite sœur, la 1600 Ti a fait le bonheur du P.T.S.* rassemblant de nombreux pilotes amateurs en circuit et rallye.

    * Peugeot Talbot Sport  

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  • LA GOLF GTI... La reine de la classe 1600 du groupe 1.

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    Le monde des petites sportives populaires se trouvait bouleversé avec l’arrivée de la VW Golf Gti 1600. Le mode de transmission aux roues AV s’imposait sur le marché après le « tout à l’arrière ».

    De nombreux adeptes du sport automobile virent alors une excellente opportunité d’exploiter ses qualités routières et sa vivacité sur les parcours sinueux des rallyes et courses de côte, le constructeur, de son côté, ayant lancé la fameuse coupe qui permit l’éclosion de futurs talents de la piste.

    Pour bien figurer dans la classe 1600, les plus avertis des concurrents recouraient à une sérieuse et complète préparation en « groupe 1 » conformément à la fiche d’homologation FFSA.

    Un méticuleux travail d’équilibrage et finition sur les pièces moteur (arbre à cames, culasse, soupapes, vilebrequin) permettait ainsi de gagner en puissance (une trentaine de cv) passant ainsi de 105 à 130 cv.

    La BV à 4 rapports +MA d’origine conservait les 2 premiers et se voyait greffer des 3ème et 4ème plus courts autorisant une vitesse de pointe de l’ordre de 150 km/h.

    Ainsi améliorée, avec la présence d’efficaces (mais onéreux) amortisseurs Bilstein, la Golf GTI pouvait affronter, sans complexes, avec un régime moteur de 7.500/8.000 tours maxi et un train AV collé au bitume, les concurrentes de sa classe (encore trop peu nombreuses) et des classes supérieurs (2L et même 3L).

    Aux dires des pilotes, poussée dans ses derniers retranchements, ses limites étaient difficiles à cerner et il fallait être attentif à de rares réactions parfois brutales.  

  • Un petit mot de bienvenue aux futurs lecteurs de ce blog...

    Bonjour à tous,

    Après avoir animé un blog sur une autre plateforme d'accueil qui cesse prochainement toute activité, je ne pouvais me résoudre à abandonner plusieurs centaines de milliers de lecteurs qui m'ont suivi au fil de centaines d'articles sur cette passion des sports mécaniques des années 70 à 90. Des photos, des portraits, des résumés de certaines épreuves viendront raviver vos souvenirs d'acteurs ou spectateurs de ces années là.